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Quizz

Je vous propose ce questionnaire afin de réfléchir à la parentalité, celle que vous souhaitez ou avez mise en place auprès de vos enfants.  Certaines questions n’ont pas de réponses toutes faites, à vous de les créer.

Le quizz est un jeu, il y a un résultat. Pour moi, vous avez tout·e·s 17/17.

Les ? sont des informations obtenues, en l’état actuel des connaissances, et de la science qui ne cessent d’évoluer.

C’est parti !

#1. Combien faites-vous de câlins/bisous à votre enfant chaque jour ? ? L’ocytocine, obtenue lors de câlins/contacts, peut aider à faire maturer le cerveau.

Le contact est nécessaire, tout être humain en a besoin. A l’adolescence, il est tout aussi important, mais il peut prendre une forme différente. Le toucher permet de se reconnecter à soi et à l’autre.

Le consentement est alors important. Il ne s’agit pas, si vous n’en avez pas envie, d’offrir vos bras et de la même façon, votre enfant a cette liberté de dire oui ou non.

En tout cas, si vous aimez ça, il n’y a pas de limites et cela peut renforcer votre attachement mutuel.

#2. Passez-vous du temps, chaque jour, à jouer avec votre enfant ? ? Le jeu est le langage de l’enfant, le jeu peut vous informer de ce qui se passe pour lui, pour elle

Vous n’aimez pas jouer, vous n’avez pas eu cette habitude. Essayez de trouver une activité que vous aimez partager, en étant présent, disponible, sans autre source de distraction.

OUI : continuez, il n’y a pas de limite 😉

NON : le jeu est le moyen privilégié pour rencontrer votre enfant. Toute activité peut être modifiée en jeu, et c’est ainsi que vous pouvez l’observer et comprendre ce qui l’intéresse, qui il-elle est.

#3. Connaissez-vous le concept de la figure d’attachement ? ? Théorie de l’attachement développée par John Bowlby

Il s’agit d’une personne qui prend soin de l’enfant.

Cette personne répond aux besoins physiologiques et émotionnels ce qui permet à l’enfant de se sentir en sécurité. Cette constance dans les réponses apportées, invite l’enfant à l’autonomie, l’envie d’aller vers les autres car il a la certitude qu’en cas de difficultés, il-elle peut revenir vers sa (ses) figure d’attachement.

#4. Connaissez-vous les conséquences d’être la figure d’attachement principal ?

C’est la personne, vers laquelle l’enfant se dirige en toute confiance. De ce fait, lorsqu’il libère ses émotions, se décharge, éprouve ses plus grosses colères c’est devant cette figure d’attachement.

Cela veut dire qu’il se contient le plus possible à la crèche, l’école… et que le moindre déclencheur lui permet de tout déverser sur vous, même si vous n’êtes pas prêt·e.

#5. Vous éprouvez une forte colère, peur, tristesse ou joie … Que pense votre enfant ? ? Les émotions sont naturelles et font partie de notre vie

L’enfant (jusqu’à l’adolescence) pense toujours qu’il est responsable de l’état de son parent.

Déjà, dans les premières années de sa vie, il ne fait qu’un avec son parent. Il apprend peu à peu à se différencier de lui. Il cherche à faire plaisir à ses parents et c’est seulement à l’adolescence qu’il fait ses propres expériences.

#6. Donnez-vous des punitions à votre enfant ?

Punition : mettre l’enfant dans sa chambre seul, privation de libertés ou de jeux, lui faire faire une tâche qui lui déplaît… La récompense est l’autre facette de la punition, car si je n’obtiens pas la récompense, je me sens puni·e.

C’est vrai, au début, ça marche un enfant puni, il obéit. Il y a ensuite l’escalade, il faut donner des punitions plus fortes. Malheureusement, le comportement qui vous déplaît continue car vous n’en avez pas trouvé la source.

Vous avez trouvé, peut-être, d’autres ressources : l’écouter, proposer des choix, apprendre l’enfant à réparer, utiliser l’imagination, expliquer les règles à un moment calme…

 

#7. Pensez-vous que votre enfant est stressé ?

Vous mettez en place de nombreuses choses pour qu’il subisse le moins de stress possible.

Vous savez que le stress a des effets négatifs sur votre enfant et avez mis des outils pour l’aider à le gérer.

#8. Pratiquez-vous ou avez-vous pratiqué le cododo ?

Le cododo peut revêtir différentes formes, sa principale caractéristique: l’enfant dort dans la même chambre que ses parents.

Cette solution peut être adaptée à l’enfant qui a besoin d’être rassuré dans ses premières années de vie.

#9. Est-ce que les êtres humains ont les mêmes besoins de sommeil ?

Entre un nouveau-né, un enfant, un adolescent, un adulte et une personne âgée, il y a des raisons physiologiques à des besoins de sommeil différents.

Il y a les couche-tard et les lève-tôt.

Les cycles de sommeil sont plus courts pour les bébés.

Les adolescents s’endorment plus tard et donc se lèvent plus tard.

#10. Votre enfant a-t’il été allaité ? ? L’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) préconise un allaitement de 6 mois.

L’allaitement c’est donner le sein ou bien le biberon avec le lait maternel. Il peut être difficile à mettre en place, si on n’a pas été soutenue.

Quelque soit la façon dont votre enfant est nourri, l’importance est dans, le comment cela est fait. Le repas est un moment d’échanges et de partage. Lorsque la personne, qui alimente le nourrisson, est disponible, présente et à son écoute, le lien est renforcé.

 

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#11. Décidez-vous de ce que mange votre enfant ?

Chaque personne, a des besoins en calories, différents. Les enfants connaissent des pics de croissance. Si l’adulte ou l’enfant, est fatigué, il peut avoir une envie de manger du sucré ou du salé. La quantité est, elle aussi dépendante des activités physiques et intellectuelles qui ont été accomplies, dans la journée et celles qui ont précédées.

Le corps envoie des signaux de faim et ensuite, celui de la satiété. C’est cet apprentissage/connaissance de soi qui permet d’éviter l’obésité. Il est important que l’enfant puisse appréhender ces éléments. L’adulte qui l’accompagne a pour rôle, de fournir des aliments sains, peu ou pas transformés, et de les mettre à disposition.

#12. Est-ce que votre enfant boit suffisamment dans la journée ? ? Les besoins physiologiques (boire, manger, dormir), doivent avoir été nourris, pour que l’enfant puissent mieux gérer les frustrations.

Vous pouvez laisser une gourde d’eau à disposition pour chacun·e.

#13. Est-ce que l’école est obligatoire en France ?

En France, l’école n’est pas obligatoire, l’instruction l’est.

Depuis la loi « école de la confiance » (26/07/19), l’instruction est obligatoire de 3 à 16 ans.

Si vous choisissez l’IEF (l’instruction en famille) d’aujourd’hui au 7 juillet 2022, il est obligatoire de le déclarer à votre mairie et à la Dasen (directeur académique des services de l’éducation nationale). En cas de déscolarisation, vous avez 8 jours pour effectuer ces démarches.

La loi confortant les principes de la République a été promulguée, le 24 août 2021, sur l’Instruction En Famille.

Si vous souhaitez faire l’IEF, désormais, vous devez anticiper. Il est nécessaire de faire une demande d’autorisation du 1er mars au 31 mai, pour avoir un accord pour l’année suivante. A partir de septembre, il n’est plus possible de déscolariser en cours d’année.

https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F23429

 

#14. Avez-vous des exemples dans lesquels votre enfant est motivé ou au contraire non motivé ?

Motivation extrasèque qui vient de l’extérieur: parents, école, activités et motivation intrasèque: je veux apprendre le piano parce que l’instrument et la musique m’intéressent.

#15. Lorsque vous repensez à l’éducation que vous avez reçue, qu’avez-vous aimé (que vous souhaitez reproduire) et que n’avez-vous pas apprécié ? ? A 2 parents pour élever un enfant, il y a 2 éducations qui se croisent pour élever cet enfant

#16. Imaginez votre enfant, à l’âge de 25 ans, physiquement, ses qualités et les valeurs. Quelles seraient les valeurs que vous aimeriez lui avoir transmises ? ? La maturation du cerveau se terminerait vers 25 ans.

#17. Avez-vous déjà dit à votre enfant : « je t’aime tel que tu es et tel que tu seras » ? ? L’amour inconditionnel, un amour que l’on donne en toutes circonstances et sans conditions.

L’amour conditionnel: si tu es sage, je t’aime, si tu fais ce que je demande je t’aimerai…

« je t’aime tel que tu es » peut permettre à votre enfant de ressentir l’amour inconditionnel que vous éprouvez pour lui, elle.

Fin

Results

Félicitations, le questionnaire est terminé.

J’espère que vous avez passé un bon moment et que vous avez eu des pistes de réflexion.

Les bonnes réponses sont les vôtres, car chaque parent, chaque enfant est unique. Vous pouvez remonter sur la page pour visualiser les autres réponses.

Je suis à votre disposition pour toute demande de coaching dans votre rôle de parent.

Félicitations, le questionnaire est terminé.

J’espère que vous avez passé un bon moment et que vous avez eu des pistes de réflexion.

Les bonnes réponses sont les vôtres, car chaque parent, chaque enfant est unique. Vous pouvez remonter sur la page pour visualiser les autres réponses.

Je suis à votre disposition pour toute demande de coaching dans votre rôle de parent.